La Bible est, pour tout chrétien, le Livre par excellence. Connaître aussi bien que possible les textes sacrés, c'est se donner des moyens supplémentaires de salut, car tout l'enseignement de l'Église s'y rapporte. La Bible est un livre Saint et, pour cette raison même, mérite tout respect dû aux choses saintes. Elle se compose de l'Ancien et du Nouveau Testament. Celui-là nous enseigne et renseigne sur les événements avant la venue du Sauveur; celui-ci nos raconte et nous enseigne les paroles prononcées par Jésus lors de sa première venue.

Les Pères de l'Église sont au nombre de 27 : 12 Pères grecs et 15 Pères latins. Leurs enseignements, calqués sur la Sainte Écriture, sont des chefs-d'œuvre et la lecture des textes qu'ils nous ont laissés, ne peut que nous rendre meilleurs, outre leur valeur littéraire. Nous vous proposons un grand nombre d'Œuvres et vous souhaitons une sainte et agréable lecture.

Les Docteurs de l'Église sont au nombre – pour le moment – de 33. Parmi eux l'on retrouve un certain nombre de “Pères de l'Église”. Ils sont grecs, romains, italiens, espagnols, anglais, français ou allemands, entre autres. Ils couvrent également – par leur diversité périodique – toute l'histoire de l'Église. La dernière en date, est notre “Petite Thérèse” de Lisieux, en attendant, peut-être, un éventuel “doctorat” pour saint Louis-Marie Grignion de Montfort.

Les fondateurs de Congrégations ou simples Communautés religieuses sont bien nombreux et, malheureusement, nous ne pourrons les citer tous. Nous parlerons des plus importants ou plus connus, sans oublier toutefois de vous donner aussi certains moins connus du grand public et qui méritent, c'est clair, d'être rappelés à votre bon souvenir. Nous pensons à Nicolas Roland, par exemple, qui fut le Directeur spirituel de saint Jean-Baptiste de La Salle et fondateur de la Communauté du Saint Enfant-Jésus de Reims.

Les mystiques sont très nombreux, car mystique est toute personne qui met en pratique les deux premiers commandements. Nous nous intéresserons particulièrement à ceux qui nous ont laissé des œuvres remarquables et dont l'enseignement est de la plus haute importance, tels saint Jean de la Croix, sainte Thérèse d'Avila, sainte Catherine de Sienne, le bienheureux Jean de Ruysbrœck, et bien d'autres... Saint Paul fut certainement le premier mystique de l'Église.

Mais, n'oublions pas ceux qui, dans l'Ancien Testament furent des prophètes et de grands mystiques, tels qu'Isaïe, Ézéchiel, Jérémie, et d'autres encore...

Ceux qui ont étudié l'ascétique et la mystique sont assez nombreux et certaines de ces œuvres sont des références incontournables pour tous ceux qui veulent en savoir plus. Nous pouvons citer ici l'immense travail de l'espagnol Alphonse Rodriguez (à ne pas confondre avec le Bienheureux Jésuite du même nom), Matthieu Beuvelet, peu connu, certes, mais dont l'œuvre sur le sacerdoce est de toute beauté, ou encore, plus près de nous Henri Brémond, de l'Académie Française et son œuvre monumentale "Histoire Littéraire du Sentiment Religieux en France".

De tout temps il y eut des Conciles généraux ou œcuméniques. Certains ont marqué des "tournants" décisifs pour l'Église, comme ce fut le cas avec le concile de Trente et, plus près de nous, le concile du Vatican II.

Mais il y eut aussi les conciles de Constantinople et d'Éphèse, dont l'importance fut aussi marquante pour l'avenir de l'Église.

Les apparitions mariales ne se compte plus, surtout en ces derniers temps. Il y a celles que l'Église a reconnues et celles qui ne le sont pas encore, et celles qui ne le seront probablement jamais...

Nous parlerons en premier lieu de celles que l'Église a reconnues : Lourdes, Pontmain, La Salette, Fatima, etc.

Nous accorderons aussi une place importante à celles qui n'ayant pas été formellement reconnues, bénéficient d'une "tolérance" maternelle de l'Église : Pellevoisin ou l'Île Bouchard, par exemple.

Il nous faudra aussi aborder quelques autres : Garabandal, El Escorial, pour ne citer que celles-là.

Les “Révélations privées”, sont également très nombreuses. Elles n'apportent rien à la Révélation, mais la rappellent instamment. Bien souvent ces “Révélations” donnent origine à des pratiques religieuses que l'Église accepte et encourage. L'exemple le plus récent est la fête de la Divine Miséricorde “révélée” à sainte Faustine Kowalska que le “saint” pape Jean-Paul II a béatifiée et canonisée.

La bienheureuse portugaise, Alexandrina de Balasar est à l'origine de la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, en 1942, par le Pape Pie XII.

L'allemande sœur Marie du Divin Cœur fut le “déclencheur” de la consécration du Monde au Sacré-Cœur de Jésus en 1899...

Les saints de l'Église catholique sont comme une voie lactée qui brille de mille feux! Leur nombre est pour ainsi dire incalculable. Depuis bientôt deux mille ans, l'Église a honoré des milliers de ses enfants, les donnant en exemple à suivre à tous les fidèles. Le Pape Jean-Paul II fut sans aucun doute celui qui porta sur les autels le plus grand nombre, en ces derniers trente ans. Espérons que lui même y soit inscrit bientôt!

Il ne s'agit pas ici de citer tous les saints, bien entendu, mais de vous donner l'occasion de connaître la vie de certains ou les écrits qui les concernent. Pour plus d'informations et de détailles sur les dates, vous pouvez vous rendre sur le site : Causes des Saints, qui répertorie — tant que cela est possible — touts les saints, bienheureux et causes en cours, depuis l'an 1000 jusqu'à nos jours.

Les Sanctuaires, qu'ils soient mariaux ou pas, sont très nombreux dans le monde. Nous nous intéresserons à un certain nombre, parmi les plus connus: Lourdes, Fatima, La Salette, Saint-Joseph de Montréal, Saint-Pierre de Rome, etc. Nous vous invitions à visiter le site Nouvelle Évangélisation pour plus de renseignements.

Sous cette rubrique vous trouverez un grand nombre de textes importants : Encycliques, Lettres Apostoliques, Exhortations Apostoliques, Décrets, Motu-Proprio, etc., publiés par les différents Papes, au cours des siècles.